mardi 30 juin 2009

jambes nues (2)


le retour du legging

Ce matin, profitant de la chaleur ambiante, je décide de mettre une mini-robe avec sandales compensées.

Je vérifie ma silhouette dans la glace, me penche (ok, on ne voit pas ma culotte). Nous sommes mardi (jour du retour) et une tenue sexy s'impose.

Je m'énerve au téléphone avec un gars qui essaie de me soutirer de l'argent pour un service dont je n'ai pas besoin et enfourche mon vélo.

Et donc, je déconseille la mini-robe et les jambes nues pour ce moyen de transport. Je crois que les passants auraient pu vérifier la qualité de mon épilation maillot ainsi que mes piqûres de moustique sur les fesses.

dimanche 28 juin 2009

la crise


la boîte de M. licencie à tours de bras

mais il semblerait que ses compétences vont lui sauver les fesses.

Ca me fait plaisir de savoir que mon presque mec n'est pas un loser et qu'on l'apprécie pour son boulot et le reste.

Ca veut dire qu'il va probablement continuer à être absent une semaine sur deux et je crois que finalement ça me soulage...

Je précise que je n'ai pas dit que les gens qui se font virer sont des losers, hein...

samedi 27 juin 2009

jambes nues


aujourd'hui,

j'ai testé pour vous la mini-jupe sans collants, ni leggings.

Et donc, le résultat est concluant malgré l'absence de jambes de gazelle.

Jusque-là, je vous avais épargné mes complexes, mais ce n'est que de la poudre aux yeux.

Magré ma capacité à jouir toutes les 2 minutes, je serais probablement recalée à tout casting de film de cul à cause de mon physique : petites jambes, culotte de cheval, petits seins abîmés par l'allaitement, ongles bizarroïdes...

Mouais, ce genre de pensées me donne envie de me foutre à poil devant une webcam et de faire bander n'importe quel inconnu...

Excusez-moi, c'était la minute "je n'aime pas trop mon corps mais je sais m'en servir".

jeudi 25 juin 2009

le protocole


pour les "vrais" scientifiques,

il y a les sciences dures et les sciences "molles".
Je suis plutôt adepte de la deuxième catégorie, celle des études normalement réservées aux femmes qui cherchent un mari avec de l'argent.

Tout ça pour dire que je ne suis pas sûre de distinguer l'essentiel de l'accessoire dans l'expérience.

Donc, voici une liste d'éléments plus ou moins importants pour tenter l'ODSMST
 (l'Orgasme à la Demande et Sans les Mains et Sans Trucage) :

- une femme habituée aux orgasmes multiples
- un partenaire qui connaît son corps par coeur (c'est peut-être ça le truc, il anticipe...)
- du pot belge (de la bière, de la coke, du lard bien cuit et de la salade de pâtes maison)
- une nuit sans sommeil et un désir qui ne veut pas aller au lit
- quelques pratiques sexuelles condamnées par toutes les religions monothéistes
- un espace inconfortable pour avoir les genoux râpés et l'agrafe du soutien-gorge éternellement imprimée dans le dos (je crois que le "je te prends pendant que tu essaies d'enlever ta jupe" est obligatoire)
- de légères tendances exhibitionnistes allant du "j'aime quand tu regardes entre mes jambes en te caressant" à l'envie de courir nu dans les prés

mercredi 24 juin 2009

je n'ai pas la télé


depuis pratiquement 15 ans

mais je lis Voici, alors je me tiens au courant.

Donc, je me demandais si je ne pourrais pas me présenter à Incroyable talent ou un truc du genre.

Dimanche matin, en me livrant dans une VW à des ébats à haute teneur en excitation, j'ai vécu une expérience étonnante :

l'orgasme à la demande et sans les mains (sans aucun contact physique et sans trucage).

Il suffisait que M. me demande : Jouis, et j'obéissais.

Jouis plus fort, et je me transformais en geyser.

tenue impeccable


















tu es toute belle

M. et ma grand-mère ont la même formule pour marquer leur assentiment face à 


- un maquillage réussi
- une mine épanouie
- une chaussure qui galbe la jambe
- une robe seyante
...

Ca m'interpelle.

mardi 23 juin 2009

fragile


ben, oui, quand même...

Bon, a priori, je ne connais pas le phénomène de la descente, mais je l'appréhende quand même. Et le mardi, c'est un sale jour quand vous avez pris de la coke le week-end. Même une petite latte et demi, même si ça fait trois mois que ce n'était pas arrivé.

Une fête à la campagne, avec des loupiottes et plein d'amis de M. qui me serrent dans les bras en disant que ça fait tellement plaisir de me revoir.

Des pulsions qui s'expriment ; ma bouche contre celle de Lydia, une voiture qui accueille des échanges de fluides.

Et puis, la fatigue qui suit.

Je dors mal les deux nuits suivantes. Dans mon demi-sommeil, mon cerveau calcule les centimètres qui me séparent de lui (m'a-t-il effleuré le bras en se retournant, son sexe gonfle-t-il contre mes fesses ?).

Même saoûle, même droguée, aucune déclaration ne sort de mes lèvres, le plus explicite restant : je suis bien dans tes bras.

Mardi, c'est aussi le jour du départ (ou du retour, ça dépend des semaines).
Alors, je lui explique que j'ai rêvé que ma fille aînée pleurait car elle craignait d'être abandonnée et que, forcément, c'est limpide : c'est moi qui ai peur.

Il me rassure, un peu.

Je suis quand même fière d'avoir avoué mes angoisses. Je progresse.

samedi 20 juin 2009

l'avantage des poitrines menues

la température idéale,

c'est quand vous n'avez pas froid en ne portant qu'une robe et une culotte.

vendredi 19 juin 2009

massage de pieds


c'est un signe d'alcoolémie élevée,

cette nuit, je suis rentrée chez moi avec un géranium que j'ai volé (où déjà exactement ?).

La fin du printemps est parsemée d'événements semi-mondains où je sais que je vais croiser un maximum de personnes. Alors, j'avais choisi ma robe la plus courte, les couleurs les moins discrètes. Plus facile pour me retrouver dans la foule. Je crois qu'on m'a fait trois fois le "on se connaît, non ?".

Bref, je discute avec le beau S. Il s'est laissé pousser une moustache et donc je fixe sa lèvre supérieure en lui parlant. De toute façon, il est très grand, difficile de viser les yeux quand on est très prêt.

S : En fait, on n'est pas amis. On est quoi, alors ?
Tu penses quoi de moi, Sophie, vraiment ?

Moi (me retenant de lui dire qu'il est attirant mais que je le soupçonne d'être un mauvais coup)Je dirais... oui, mais non

S : Ce qui me plairait, ce serait de te masser les pieds. Ce serait très érotique, mais on n'irait pas plus loin...

Moi (m'étranglant et me retenant de dire que ça confirme ma thèse) :
Ah, non, jamais de la vie ! Moi, c'est tout ou rien. Je suis quelqu'un d'assez basique.
On devrait peut-être être amis finalement.

jeudi 18 juin 2009

thank you for your voice


depuis que les cartes postales ont presque disparu,

on reçoit beaucoup de mails et de sms pour son anniversaire.

Régulièrement, ce sont des animations complètement nulles... et donc, depuis pratiquement un mois, je n'avais pas écouté la pièce attachée.

Aujourd'hui donc, je découvre la voix de Dosto et ces quelques secondes sont un régal. Je trouve qu'il a les intonations, l'articulation de Martin Winkler.

J'aime beaucoup écouter la radio, surtout quand ça parle.

D'ailleurs, j'ai rencontré P. grâce à une émission radio et j'ai connu sa voix avant son visage.
Adolescents vivant un grand amour à distance, nous passions non seulement des heures au téléphone au désespoir de nos parents, mais nous nous envoyions des K7 par la poste. Et je parie qu'il bandait en m'écoutant lui chuchoter des mots doux...

Dans mon métier aussi, j'aime séduire par la parole, voir le public suspendu à mes lèvres.

La voix de Kim Gordon me donne la chair de poule.

mardi 16 juin 2009

les autres


normalement, peut-être parce que je mélange versatilité et  fidélité à mon adolescence, je déteste faire des listes de

mes 10 auteurs préférés (Banks, Dostoïevski, De Lillo, Murakami, euh...)

mes 10 groupes/chanteurs préférés (Blondie, Sonic Youth, France Gall période Gainsbourg, euh...)

mes 10 fleurs préférées (coquelicot, ancolie, pivoine, euh...)

mes dix positions préférées (balançoire, cuillère, levrette, euh...)





mais aujourd'hui, je voulais parler des blogs que je lis.

Forcément, avec l'arborescence caractéristique à Internet, je lis beaucoup de blogs qui parlent d'histoires de fesses, mais j'aime quand l'anecdote s'accompagne d'une réflexion, d'un brin de provocation et d'auto-dérision.

Donc, il y a 1669, qui a renoncé aux grandes histoires sentimentales mais pas à une vie sexuelle intense. Avec son style sans chichi et ses gueules de bois, elle m'a donné envie de m'y mettre (à bloguer).

Simone de Bougeoir : la plus pince-sans-rire, acide et efficace

Caliste : des expériences troublantes, une écriture fine, un questionnement perpétuel en oubliant presque de se plaindre (rare pour un homme)

Ana : très drôle ! Son public-cible est féminin et a moins de 22 ans (je me pose des questions sur ma maturité)

L Singulière : très positive, de belles photos et des notes régulières (à fréquenter sans modération)

Raphaël Conforti : dandy, dragueur invétéré et à la recherche du grand amour (trouvé ?)

Dosto : le mari qui cultive ses doutes et son jardin secret

Eliza D. : la femme infidèle avec son point de vue d'Outre-Manche

Navie : volubile et jouisseuse (mais parfois, ça me saoule...)

Jean-Paul Pognon : en images, souvent aigre-doux, pour cultiver son spleen

Jerhom : ressurgi récemment dans la blogosphère, photos urbaines et recettes au programme ?

Miss Pelisse : j'adore ses courts récits érotiques (parce qu'elle a oublié de mettre des loups et des vampires en illu et de faire des phrases alambiquées) mais ils se font trop rares

La bande pas dessinée : 3 cases, un humour féroce

SPECTRE : une des émanations collectives de Dr Lo (en somnolence ?)

Framboizerotik : elle a été reçue au concours d'Angoulême !

Oh, Waid n'est même pas dans mes liens (photos parfois trop léchées pour moi)
Allez, hop, je l'ajoute.




lundi 15 juin 2009

en couple ?


disons que j'ai perdu l'habitude...

M. m'appelle pour me dire qu'il termine le boulot plus tôt que prévu et qu'il a envie d'une soirée calme.

Sophie : Et donc, tu vas chez toi ?

M : J'aurais préféré venir chez toi... Tu comptais faire quelque chose de spécial ?

Sophie : Non...

S'il avait fallu développer, j'aurais pu dire :

Je me réjouis de te voir et je me réjouis que tu aies envie de me voir. Je suis encore toute excitée de cette nuit. D'ailleurs, j'avais très envie de me masturber en pensant à toi.
Mais je m'imaginais traînant sur l'ordi, réglant mes factures, passant le torchon (oui, c'est toujours en attente), m'épilant (toujours en pensant à toi).

Bref, je crois que j'ai pris le pli d'être célibataire et c'est un peu étrange d'imaginer une banale soirée de couple. Enfin, ce n'est peut-être pas obligé d'être banal...

vendredi 12 juin 2009

alphabet


les hommes de mon blog

Il me semblait bien que je finissais par m'y perdre moi même... Il y a des doublons.

A : le grand musicien peu sensible à mes charmes
B : le premier amant virtuel à devenir réel
C : l'ami de M. + une rencontre msn à qui j'ai envoyé une photo de mon sein
D : l'ami qui m'emmène régulièrement au resto + mon fantasme physique n° 1
F : l'ami chasseur de rongeurs
G : mon premier baiser + un ami dont j'ai peu parlé (on va dorénavant l'appeler E)
H : un confident msn qui rêvait d'un plan à 3  (je l'ai appelé O par erreur récemment)
I : l'ami qui m'a répudiée  + le grand ...ais
J : mon collègue
K : l'amant qui est presque un ami
L : celui qui n'a jamais osé passer à l'acte
M. : celui que j'ai dans la peau
N : l'ami qui fait du break quand il est saoul
O : le copain d'enfance pas très charmé
P : le père de mes enfants
R : l'admirateur inébranlable
S : le beau mais probablement pas un bon coup
U : celui qui pense que je suis un démon très excitant
X : l'amant très chaud qui ne donne plus de nouvelles
Y : le cow-boy très mâle auquel je ne peux pas toucher en raison de principes moraux (si, si)
Z : un second rôle qui aime parler de sexe

amicalement vôtre


en préambule, l'amitié homme-femme est-elle possible ?

Oui.

Sans ambiguité ?

Non.

Ou plutôt, il est préférable que non. Un ami qui ne serait pas sensible à votre charme physique, à votre potentiel de fantasme sexuel incarné ne vous aime, ne vous connaît pas vraiment.

Mais le mieux, c'est d'avoir un garde-fou. Genre, cet ami est le mari d'une amie. Car un ami avec qui on couche est un amant, et c'est un peu différent.

Donc, Nathalie est l'amie de M. (et accessoirement, la femme de l'ami de M.).
Je l'aime bien, notamment car elle n'a pas sa langue en poche et donne son avis même quand on ne lui demande pas.

Et donc, j'ai eu droit à :

Il t'aime beaucoup, mais il ne t'aime pas vraiment. De toute façon, je le connais suffisamment pour savoir que c'est un coureur, il ne peut pas s'en empêcher...

Ce discours m'a fait du bien, mais. Mais une amie vit les choses de l'extérieur et je suis sans doute en train de lui donner une seconde (ah, non, une troisième en fait) chance.

Ce qui me frappe, c'est l'effet miroir.

I. était mon ami (et accessoirement l'ami du père de mes enfants).
Il n'a pas apprécié que je mette en garde son actuelle compagne sur son potentiel de briseur de coeur...

M. et I. étaient deux adolescents timides et mals dans leur peau jusqu'à ce qu'une bonne fée se penche vers eux pour en faire des mâles devant qui toutes les femmes se pâment.

M. et I. ont une réputation internationale d'hommes bien membrés.

M. et I. ont peut-être besoin de conquérir pour gagner un peu de confiance.

M. et I. changent souvent de boulot, mais restent rarement inactifs.

M. et I. ont toujours été infidèles, même s'ils préfèrent ne pas en parler.

M. et I. rêvent d'aventure, mais l'aventure se limite souvent à se comporter comme des animaux sauvages au coin d'un bar.

M. et I. ont peu de limites, que ce soit pour l'alcool ou la drogue, mais n'ont vraiment une dépendance qu'au sexe.

M. et I. se posent beaucoup de questions et voudraient être des gens biens (ce sont des gens biens, sauf dans leurs relations amoureuses).

M. et I. rêvent en secret d'une femme qu'ils aimeront toujours, d'une maison à la campagne et d'enfants qui courent dans la pelouse.

Depuis quelques années, I. vit son rêve dans un cocon et, en tant qu'amie répudiée, je crains l'effet casserole à pression.

En tant qu'ex-future amoureuse de M., je le crois quand il me dit qu'il veut construire des choses avec moi.

Bref, ne tombez pas amoureux de vos amis, ils sont beaucoup trop lucides.





jeudi 11 juin 2009

stormy weather


d'habitude,

j'ai peur de l'orage.

Mais là, ça m'arrange :

- ça arrose le jardin
- ça me donne un prétexte pour ne pas passer l'aspirateur, ni faire la vaisselle (l'eau, c'est un dangereux conducteur)
- et mon ordi est un portable...

mercredi 10 juin 2009

parfois


la fatigue aidant


qq verres de vin blanc vous mettent dans un état second.

K. m'a passé un coup de fil qui m'a fait plaisir. Et je me demande ce que devient O. qui souhaitait remettre le couvert avec son ancienne compagne qui débarquait d'Amérique du Sud avec un jeune enfant...

mardi 9 juin 2009

back home










d'abord protester

sur le manque de lits matrimoniaux dans les hôtels de gamme moyenne.
De l'art de gérer l'espace entre les deux matelas alors qu'on a décidé de s'arrêter dans le premier hôtel venu (sauf celui à 40 € la nuit à côté de la gare) pour plonger avec ardeur dans une énième redécouverte de nos corps (j'avais d'abord tapé "coeurs", beau lapsus...).

Encore sur le fil avec M. Est-on prêts cette fois-ci pour un couple qui ne serait pas exclusif dans sa sexualité ? Pour moi, le tout est de reconstruire une confiance. Le mensonge, l'omission doivent nécessairement être proscrits.

Sinon, le directeur artistique du... de ... (c'était plus simple quand je me contentais d'une initiale) a réclamé mes coordonnées avant nos départs respectifs. J'aime son oeil brillant, intelligent. Mais c'est quand I. m'a serrée dans les bras (démonstratifs ces ...ais) que j'ai senti un frisson. Il n'y a rien à faire, devoir me mettre sur la pointe des pieds pour atteindre la joue d'un homme culminant vers les 1m95 me fait de l'effet.

Me voici de retour chez moi (pas de foire de Bâle ou autres destinations artistiques au programme pour le moment) avec une envie folle de m'occuper des mauvaises herbes, des fleurs et du potager. 

dimanche 7 juin 2009

fin de séjour


je fatigue

Je ne suis pas sûre que la grappa soit un adjuvant à l'écriture, mais envie de faire une note.
De vous parler de Venise, ses ruelles, son aqua alta par pleine lune, de chaussures Marc Jacob malheureusement plus disponibles en taille 37 (ça y est, je me prends pour Brett Easton Ellis...).

Mais je pense que la MASTURBATION est un sujet plus porteur.

Ou comment je commence à comprendre les moines bouddhistes.
Ou comment après 10 jours d'abstinence j'ai abouti à ce qui doit être un de mes plus longs orgasmes.
Ou comment la rareté m'a permis d'atteindre la jouissance avec le jet de la douche (attention, le tout n'est pas d'enlever uniquement le pommeau, mais aussi de se débarrasser du joint qui pourrait facilement disparaître dans votre intimité).
Ou comment le fait de serrer les dents pour ne pas faire de bruit peut éventuellement apporter du positif.

samedi 6 juin 2009

tour de Babel


Ik kan een beetje Nederlands spreken.
Puedo hablar espanol en otras circunstancias.
Sorry but i'm too tired

J'ai beaucoup aimé le concert de Zita Swoon au Lido...

jeudi 4 juin 2009

(se) vendre

même quand vous avez la foi

C'est difficile de passer toute une journée à convaincre une foule tour à tour indifférente, fervente, lubriquement intéressée, de vous accorder quelques minutes.

Et les journaux tachent horriblement les mains, le cou, le visage.

A part ça, les préservatifs n'ont toujours pas quitté ma trousse de toilette (la prudence nécessiterait un transvasement), le directeur artistique du ... de ... a réclamé que je m'asseye à côté de lui dans une tablée de 20, M. m'envoie plein de messages pour dire qu'il meurt d'envie de me baiser sauvagement (on a le même sens de l'image poétique...).

mardi 2 juin 2009

scène du crime

dans les thrillers

on apprend que le criminel laisse toujours des indices en raison de son égo démesuré, de son envie d'être découvert.

Péché d'orgueil ? Envie de partager une expérience nouvelle et excitante ?

Je ne sais pas exactement pourquoi j'ai contacté sous mon vrai nom et dans un cadre professionnel deux bloggeurs qui m'ont immédiatement reconnue...

Une mise à nu qui pourrait me causer de petites angoisses. Et si ce journaliste avec qui je parle, c'était lui ? Et s'il connaissait mon père et donc mon nom de famille ? Et si ?

Et si je m'endormais tranquillement en pensant au côté très sexy du directeur artistique du ... de ... ?

lundi 1 juin 2009

pavillon national


ou lieux communs sur les ...ais


Si je dois me fier à mon expérience récente,

les ...ais sont presque tous grands (et vous savez que j'aime ça),

les ...ais passent avec aisance d'une langue à l'autre dans la même conversation,

les ...ais sont légèrement puritains,

les ...ais sont  férus d'art contemporain et de design,

les ...ais sont mariés dès leur plus jeune âge.

L'exotisme n'est qu'à une encablure.