quiproquo

ou j'aime beaucoup les smocks

J'ai gardé ma culotte et mon T-shirt, ce qui pour moi est signe d'approche libidineuse car je dors toujours nue (sauf quand je suis très saoule et que je garde même mes bottes en caoutchouc). 

M. vient me rejoindre et je me place à califourchon sur ses hanches. Je tire sur la bande élastique du T-shirt sans manche pour dégager mes seins qui viennent caresser sa poitrine et je le mordille dans le cou. Ma culotte ne fait pas long feu. Je frotte son sexe contre mon clitoris avant de l'enfoncer avec détermination dans mon corps. Il attrape mes fesses et je fais passer mes jambes de part et d'autre de sa taille. Nos bassins se soulèvent en rythme. Je joue avec mon vêtement pour lui montrer tour à tour ma poitrine et nos sexes qui s'emboîtent. M. gémit, s'immobilise, puis m'attire tendrement dans ses bras. J'en déduis qu'il a joui.

Mais qu'il en veut encore puisqu'il se réactive. Je me dégage et me place à genoux entre ses jambes avec l'envie de renforcer son érection avec ma bouche. Je m'applique et il ne me distrait pas trop par des caresses appuyées (c'est mon côté masculin, dans ce genre de situation, je suis vite déconcentrée si j'essaie de faire deux choses à la fois). Je prends mon temps, je fais un peu du show en relevant mes cheveux et en le fixant intensément. J'alterne mouvements de langue, lèvres et mains en fonction de ses soupirs. Il se saisit de son pénis pour jouir tout en me regardant me masturber de concert.

- C'était pas terrible, hein. Je sais pas, j'ai eu un problème d'érection (pas de double éjaculation, donc...)

- Ben, t'aimes pas te laisser faire un peu ?

- Si, mais je préfère te retourner dans tous les sens. Avoue que tu n'as pas pris le plus grand pied de ta vie (c'est pas faux, mais j'aimais bien quand même moi...).