que du plaisir

Aujourd'hui, un événement est venu illuminer mon mardi pourri : les cloches de Pâques sont venues livrer une ... 

 BALANCOIRE.

Une grande, un portique avec une cabane, un toboggan, une corde à noeuds et bien sûr : une balançoire !

Je crois que ça fait une éternité que j'attends ça (enfin, en théorie, c'est un cadeau pour les enfants, mais bon...).

Parce ce que, je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais il n'y a plus de balançoires sur les plaines de jeux ! Probablement jugé trop dangereux... Enfin, moi, je dis que c'est un scandale.

Pour mes 22 ans, mes amis m'avaient déjà offerts une belle balançoire en bois (sans le portique) avec leurs noms gravé en dessous. Elle a servi longtemps de porte-plante car je manquais d'espace.

Par contre, dans ma maison précédente, elle trônait fièrement dans le salon et quand on y allait un peu fort, on avait l'impression qu'on allait passer à travers la fenêtre. Je me souviens aussi d'une fois avec M. : moi, suspendue aux cordes et lui, debout devant moi. Un délice !

Quand on me parle de balançoire, j'ai une lueur dans le regard.

Comme je me réjouis de m'envoler en regardant la ville à mes pieds !

Par ailleurs, en cherchant une image pour illustrer ce texte, je me rends compte qu'une de mes positions préférées s'appelle la balançoire! Et je suis toute contente de vous montrer cette photo tout sauf esthétisante...