lundi 13 juillet 2009

à développer plus tard


des tas d'idées traversent mon cerveau au bord de la crise de nerfs

il faudrait peut-être que ça sorte,

mais c'est pas mon genre d'appeler une amie pour lécher mes blessures,
mais pondre 3 pages sur un blog, c'est chiant pour le lecteur,
mais un bombardage de lettres serait trop envahissant,
mais msn me donne des boutons.

Alors, une autre fois, je vous expliquerai

- pourquoi dans un couple je préfère être celle qui aime le plus plutôt que le contraire (à condition qu'on croie à ce genre de comparaison type longueur de quéquettes)

- pourquoi montrer ses seins à des inconnus est meilleur pour la confiance en soi qu'une augmentation mammaire

- que je devrais faire plus de sport, car ma libido me fatigue

- pourquoi c'est éreintant et à la fois excitant de côtoyer M. Testostérone 100 %

- ...


En attendant, je finis ce petit boulot urgent et puis je vais aller pédaler dans ma ville.

En espérant que ça me calme.


3 commentaires:

caliste a dit…

"pourquoi dans un couple je préfère être celle qui aime le plus plutôt que le contraire" : c'est amusant (enfin non mais soit) mais j'aurais tendance à penser le contraire. Je me dis parfois que c'est reposant d'aimer moins que l'autre. Mais je crois que je suis paresseux et égoïste (un peu sur les bords) et que je devrais pas m'en venter.

Sophie a dit…

> Caliste : parce que moi, je n'aime pas quand c'est du tout cuit, mais je développerai, promis.

Lsingulière a dit…

je préfère aussi être celle qui aime le plus en laissant l'autre respirer ... si c'est lui qui aime plus... j'étouffe !... paradoxe