ou le plus beau rateau de ma vie
Il y a deux ans et demi, je vivais une période un peu trouble et un homme en gilet rayé est venu ajouter son grain de sel (heu, oui, je l'avais un peu titillé).
Je me rappelle (dans le désordre) :
- d'une fois où il m'a dit : "Si je n'étais pas avec Laurence, je serais avec toi"
- des nombreuses fois où je lui parlais en triturant la tirette de son fameux gilet
- d'une fois où il s'est décomposé quand P (l'officiel) lui a demandé si on faisait ménage à trois
- des fois où il s'endormait quand Laurence était là et restait éveillé quand elle était absente
- d'une fois où il m'a dit en me soufflant dans le cou : "Je sais que tu as un mec et des enfants, mais embrasse-moi !"
- d'une fois où il restait 5 personnes dans la soirée et où deux inconnus nous ont apostrophés en disant : "vous êtes amoureux, vous deux, ça se voit"
- des fois où il disait qu'il allait rappeler et ne le faisait pas
- d'une fois où il m'a caressé les fesses après avoir rapproché deux divans
...
et quand j'ai demandé à le voir à jeun pour discuter une bonne fois, il m'a regardée en train de déchirer en microparticules mon sous-verre en carton et m'a dit :
"Je ne m'en souviens pas. En tout cas, quand je te vois comme ça, tu ne m'attires pas du tout".
Le pire, c'est que quand je le croise, ça me fait encore quelque chose.
1 commentaire:
Dur dur les souvenirs, je te parle pas des miens... ou comment je jouais casanova... le gars qui draguer la fille et que quand il voyait qu'elle avait cédé intérieusement la laisser tomber avant même de l'avoir embrasser une fois pour une autre nana à draguer pareil...
En fait, je devais adorer le jeu de la séduction et ce qui venait après m'attirait moins sans doute...
Enregistrer un commentaire