vendredi 30 janvier 2009

partie 2


ou la reine du teasing n'a aucune patience...

et peu de mémoire.

Donc, pas évident de raconter notre première nuit, surtout que nous étions très imbibés.

Mais de la ou des premières fois, je me souviens des choses suivantes :

- de notre impatience :
nous avons fait l'amour debout derrière la porte à peine fermée, le lit semblait trop loin

- de son canapé  :
mes fesses qui collent sur le cuir

- de ma grande jouissance :
ma révélation en tant que femme-fontaine

- la longueur de son sexe :
il me faisait un peu mal en levrette et j'aimais ça

- de notre admiration béate :
il me répétait sans cesse :"tu es belle, comme tu es belle" pendant que je le chevauchais,
 j'écarquillais grand les yeux et voulais absolument me familiariser avec toutes les parties de son corps (les fossettes au dessus des fesses, à se damner)

- de ses mains :
qui caressent, qui pincent, qui agrippent, qui écrasent, qui portent, qui tapotent...

Pendant des mois, j'étais dans un état de surexcitation constant. Même les Christ de Philippe de Champaigne (à cause de la peau claire ? de l'ossature solide ? de la longueur des jambes ?) me donnaient envie de me déshabiller.

C., qui vivait alors dans l'appartement du dessous, se souvient aussi de cette période. Récemment, en parlant de sexualité, il m'a dit :"Oui, mais toi, on sait que tu es un vrai kangourou...". Je n'ai pas osé demander ce que ça voulait dire.

PS : Mince, ma collègue vient me demander des infos au moment où je publie ce post... A noter, ne pas écrire sur ce blog au boulot, ce n'est bon ni pour mon image de sérieux, ni pour mon anonymat...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ah Sophie ... la ce n'est plus du teasing !!!!!!
L'effet est perdu (rires)

En tout cas , c'est très chaud , si je n'avais pas 39 de fièvre je serai tout excité (Re-rires).

@ bientôt